THE WINDOW
LABORATOIRE D'EXPÉRIMENTATIONS ARTISTIQUES EN MILIEU URBAIN

Tranche de vie #1

JULIE GENELIN

avec artiste pluridisciplinaire

Franco-autrichienne, Julie Genelin questionne le rapport au temps de nos sociétés à travers ses installations, ses performances et ses éditions d’objets. Par-delà son parcours individuel, elle co-fonde deux associations : Celeste, en 2005 à Pékin, qui organise des expositions et des résidences jusqu’en 2012 et le Cercle Chromatique, qui réunit des alumni des Beaux-Arts de Paris depuis 2017. Titulaire d’un DEA en études germaniques, Julie Genelin est aussi traversée par la question de l’écologie et du langage. Ces réflexions prennent chez elle une forme plastique.

Franco-autrichienne, Julie Genelin questionne le rapport au temps de nos sociétés à travers ses installations, ses performances et ses éditions d’objets. Par-delà son parcours individuel, elle co-fonde deux associations : Celeste, en 2005 à Pékin, qui organise des expositions et des résidences jusqu’en 2012 et le Cercle Chromatique, qui réunit des alumni des Beaux-Arts de Paris depuis 2017. Titulaire d’un DEA en études germaniques, Julie Genelin est aussi traversée par la question de l’écologie et du langage. Ces réflexions prennent chez elle une forme plastique.

Sa pratique artistique et plus particulièrement les deux directions du temps et de son écriture qui la structurent, s’exprime également à travers sa volonté de transmettre qu’elle vit en enseignant la pratique artistique à la Via Ferrata, Beaux Arts de Paris, depuis 2016.

https://www.instagram.com/julie.genelin/

Durant Tranche de vie #1, ( le 27 mars 2021 à 14H30 ), avec la participation d'[ Augustin Passard ], Julie Genelin propose une étape de travail performée autour de la mise en scène du livre Le plâtrier siffleur de Christian Bobin, édité chez Poesis en 2019.
En voici un extrait :
“Sur le chemin qui me mène à la maison, parfois je trouve des plumes bleutées de geai, comme des éclats d’azur. C’est très petit, ce que je fais. J’essaye de recueillir des choses très pauvres, apparemment inutiles, et de les porter dans le langage. Parce que je crois qu’on souffre d’un langage qui est de plus en plus réduit, de plus en plus fonctionnel. Nous avons rendu le monde étranger à nous-mêmes, et peut-être que ce qu’on appelle la poésie , c’est juste de réhabituer ce monde et l’apprivoiser à nouveau.” 
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